Mac Cain / Obama 2008

[Virsago]

Ouais, mais va t-il réussir ? les promesse c'est simple, on en fait des dizaines par campagne, combien seront tenu ?
pas beaucoup je dirais, mais bon on vera bien.

[Orga]

Son élection semblait trop beau pour etre vrai un peu lol. J'espère que ça sent pas l'arnaque ... Bah on verra ^^

[ms]

Premier discours d'Obama aujourd'hui. 20 minutes, il a fait vite pour ne presque rien dire de concret...

[mwu_la_fraga]

faut savoir aussi que son mandat ne commence qu'a partir de 20 janvier 2009, concret ou pas ce n'est qu'un debut

[Virsago]

Oui et puis vu le contexte (la conjoncture, comme dirait certains^^) actuel, il a interet à faire gaffe à ce qu'il dit.

[ms]

Surtout vu ce que lui laisse son prédessesseur, il va avoir beaucoup de boulot...
Son mandat ne commence que le 20 janvier mais il a dèjà pris un accord avec Bush pour être au courant de ce qui se passera pendant ce laps de temps.

[Hayate]

Oui, il est pas encore élu en fait, mais c'est sur a 99,999% qu'il le sera, sauf si les grands électeurs changent d'avis en masse, mais y'a une probabilité casi nulle quoi... Ca fait bizarre de voir quelqu'un elevé dans la foi musulmane président des Etats-Unis, j'y avais vraiment pas cru

[Orga]

Mais il n'est pas chrétien lui même ?

[Hayate]

En effet, il est protestant, mais pendant son enfance, son père l'a eduqué a l'islam, a mon avis pour les américains ça doit compter... Enfin j'me trompe p'tet

Ou bien il fait semblant d'être protestant mais est athée ou musulman, car un non-chrétien a aucune chance d'être élu la bas...

[Orga]

en effet, bizarre ^^

[MaxX]

Hmmm, ça fait déjà un an qu'il est président !
C'est moi où le temps s'accélère d'années en années !

[Orga]

non il accélère.

[PiccoloJr]

D'après ce que j'ai lu ici et là, le malaise viendrait du fait que le vrai Obama est bien différent du personnage qu'il s'est construit pendant la campagne.
En réalité, c'est un homme qui aime la stabilité et le consensus et qui essaie de ne pas être trop brusque dans ses réformes. On est bien loin des slogans simples et radicaux "Yes we can" et autres "Change we can believe in". Du coup, il est critiqué non seulement par ses adversaires républicains, ce qui est naturel, mais aussi par l'aile gauche de son parti démocrate qui le trouve bien trop mou et complaisant, notamment par rapport aux réformes de l'assurance maladie et au contrôle de Wall Street après la crise.